
Deux jours de vélo me mènent à Buis-les-Baronnies où Isabelle, Pascal, leur fille Mathilde, Max et moi avons loué un gîte pour quinze jours, afin de nous livrer à notre plus grande passion : le parapente !

...et l'escalade aussi avec Isa, quand ça vole pas... Le tout rafraîchi par des bains réguliers dans les rivières.

A peine je suis arrivé, mes amis bretons, de passage dans le coin, débarquent un soir en camion devant la maison, me faire, à l'improviste, un dernier au revoir. Les premiers jours se passent à merveille. Nous sportivons et festoyons avec nos amis locaux, guides, grimpeurs et parapentistes : Jojo et Cicine, Franck et Yéyette, Jean-Marc et les autres...


Tout se passait trop bien jusque là, lorsque soudain, le 8 août: le drame ! Je décroche en parapente à 7 mètres du sol et tombe sur le dos. Hôpital, radios, scanner, résultat : deux tassements avec légères fractures de vertèbres. Après avoir vu plusieurs spécialistes, il n'y a pas grand chose à faire. On ne peut pas plâtrer et le port d'un corset entraine des effets secondaires. Je n'ai qu'à me reposer en souffrant en silence.
Moralité de l'histoire, comme dit Joël : " C'est quoi la différence entre Dieu et un parapentiste ? C'est que Dieu ne se prend pas pour un parapentiste ! "
Mais pas question pour moi de rester immobilisé. Je passe une semaine en convalescence dynamique, allant me faire des bains de boue dans l'Ouvèze.

...et l'escalade aussi avec Isa, quand ça vole pas... Le tout rafraîchi par des bains réguliers dans les rivières.

A peine je suis arrivé, mes amis bretons, de passage dans le coin, débarquent un soir en camion devant la maison, me faire, à l'improviste, un dernier au revoir. Les premiers jours se passent à merveille. Nous sportivons et festoyons avec nos amis locaux, guides, grimpeurs et parapentistes : Jojo et Cicine, Franck et Yéyette, Jean-Marc et les autres...


Tout se passait trop bien jusque là, lorsque soudain, le 8 août: le drame ! Je décroche en parapente à 7 mètres du sol et tombe sur le dos. Hôpital, radios, scanner, résultat : deux tassements avec légères fractures de vertèbres. Après avoir vu plusieurs spécialistes, il n'y a pas grand chose à faire. On ne peut pas plâtrer et le port d'un corset entraine des effets secondaires. Je n'ai qu'à me reposer en souffrant en silence.
Moralité de l'histoire, comme dit Joël : " C'est quoi la différence entre Dieu et un parapentiste ? C'est que Dieu ne se prend pas pour un parapentiste ! "
Mais pas question pour moi de rester immobilisé. Je passe une semaine en convalescence dynamique, allant me faire des bains de boue dans l'Ouvèze.
Vilain krosse kachotier !!! Tu n'avais pas Vranchement utilisé le mot "frakture", non ?
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