Nous arrivons aux Galapagos le 22 avril, soit après sept jours de mer exactement. Nous rencontrons l'étonnante faune endémique de l'archipel : iguane marin, tortue géantes, raies mantas, requins... Le 30 avril, Véronique, Bertrand et Didier repartent en France en avion. Pierre et moi restons une semaine supplémentaire avant de reprendre la mer.
Le premier contact s'est établi avec les otaries, qui veulent absolument monter sur le pont tout propre de notre bateau pour y faire leurs besoins !
Ici les animaux sont rois et très peu farouches. Nous croisons les fameux iguanes marins
et les tortues géantes en train de travailler à la sauvegarde de leur espèce !
La nature sauvage est remarquablement bien protegée mais cela à un coût quelque peu prohibitif. Le droit d'accès en voilier n'est pas donné, bien que limité à seulement trois mouillages. Et une fois qu'on s'est acquitté du billet d'entrée dans le parc naturel, il y a encore beaucoup d'endroits impossibles d'accès ou interdits sans passer par la prestation d'un guide local. Nous restons un peu sur notre faim et nous ne pouvons nous empêcher de penser que les Galapagos : c'est un peu cher pour ce que c'est.
Malgré tout, l'activité volcanique donne à certains paysages une beauté totalement surréaliste,
une fascinante désolation mystérieuse,
sur laquelle règnent de curieux fous de bassant aux pieds bleus.
Et le spectacle est tout aussi étrange à terre que sous l'eau.
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